En lui s’élève le besoin d’être de cœur.
De l’enfer au paradis, de touts les pays qu’il a choisi.
Et de tous les êtres qu’il frôle, il tien parole
Son sourire, ses pleurs et ses entêtements sont vrai.
Devant le faux, il immobilisera sa morale.
Debout sans voix, aucun geste pour trancher et mentir,
il cherchera la liberté.
De souffles menteurs en gestes oubliés se bâtissent ses barreaux
Éperdument, à la mort, il cherchera la sortie.
Si l’on persiste il s’échappera à jamais.
Le temps passe si vite, il a tant besoin de bien respirer.
Comment lui demander d’accepter la froideur d’un menteur,
quand les vents chauds de l’amour libre tournoient autour de ces ailes.
Ne voyons-nous pas qu’il souffre de ce qu’il nous offre ?
Qui sommes-nous contre le ciel immense ?